«Watson ne fait pas le travail à la place du collaborateur, il l’assiste dans ses choix, l’aide à s’orienter dans son enquête ». « Notre objectif est de régler davantage de dossiers, affirme Mme Bigot. Pas de réduire le nombre des collaborateurs qui travaillent sur les contrats non réclamés».

Source : Quand l’intelligence artificielle enquête sur les assurances-vie non réclamées