«Ces violences affectent la santé et la vie sociale des victimes, avec la même gravité que les autres formes de violences faites aux femmes. Elles n’ont rien de virtuel. Elles sont pourtant largement tolérées. C’est ce dont témoigne un testing inédit mené par le HCE et ses partenaires en juillet 2017 sur les principaux réseaux sociaux (Facebook, Twitter et Youtube) : 92% des contenus sexistes signalés (insultes, menaces de viols ou incitation à la haine) n’ont pas été supprimés par les plateformes, avec des écarts : 87 % pour Facebook, 89 % pour Twitter et 100% pour Youtube».