“On trouve dans le monde académique beaucoup de chercheurs qui ont le sentiment de ne jamais en faire assez. Ils passent leurs week-ends dans leur labo. Ils s’épuisent au travail. Le doute, c’est bien. Trop de doute, c’est malsain. Je le sais, je suis passé par là. Il faut lutter contre ce penchant délétère.”

Source : Pierre Vandergheynst, maître de la pensée computationnelle à l’EPFL – Le Temps