Source : metaversenails

“La logique voudrait que le réseau social contacte directement la ou le propriétaire du nom pour lui demander s’il serait d’accord pour le céder. Mais dans les faits, l’exemple de Thea-Mai Baumann montre qu’il est possible que des modifications soient faites sans en discuter avec l’internaute concerné. L’histoire de l’artiste australienne pourrait également servir d’avertissement à tous les créatifs qui utilisent Instagram et d’autres plateformes comme « galerie » où elles et ils sauvegardent leur art. Il convient toujours de rappeler que les réseaux sociaux sont des entreprises, qui ont le droit d’héberger ou non ce qu’elles souhaitent. En publiant des images, vidéos et photos sur un réseau social publiquement, il faut savoir qu’il est possible que celles-ci soient un jour inaccessibles — qu’il s’agisse d’une décision de la plateforme ou d’un bloquage automatique à la suite de trop nombreux signalements ou d’une détection algorithmique d’un contenu jugé problématique.”

Source : L’artiste qui possédait le nom Metaverse a vu son compte supprimé quand Facebook est devenu Meta – Numerama