Le réseau social est américain – créée il y a un mois, sa filiale française n’a que des missions en rapport avec le marketing – et peut décider de ne pas se soumettre au droit français… Les serveurs, ces super-ordinateurs qui hébergent les tweets, sont aux Etats-Unis. Leur contenu est donc soumis à la loi américaine et au premier amendement qui garantit une liberté d’expression beaucoup plus large qu’en France.