ATT et Verizon ont fait main basse depuis plusieurs années sur la majorité du spectre. Au point de se mettre à dos les concurrents, dont T-Mobile US qui s’était plaint auprès de la FCC en 2012. Les deux géants américains du mobile, qui se partagent les deux tiers du marché, n’hésitent pas à mettre des milliards de dollars sur la table à l’occasion de ces enchères. Priver de fréquences ses petits camarades, c’est en effet s’assurer qu’ils ne pourront pas proposer autant de services et de débit à leurs clients.