Étiquette : cambridge analytica (Page 1 of 2)

Fix Facebook

“The rash of news coverage was no accident: NTK is an affiliate of Definers, sharing offices and staff with the public relations firm in Arlington, Va. Many NTK Network stories are written by staff members at Definers or America Rising, the company’s political opposition-research arm, to attack their clients’ enemies. While the NTK Network does not have a large audience of its own, its content is frequently picked up by popular conservative outlets, including Breitbart. Mr. Miller acknowledged that Facebook and Apple do not directly compete. Definers’ work on Apple is funded by a third technology company, he said, but Facebook has pushed back against Apple because Mr. Cook’s criticism upset Facebook.”

Source : Delay, Deny and Deflect: How Facebook’s Leaders Fought Through Crisis – The New York Times

Twitter Sold Data Access to Cambridge Analytica-Linked Researcher

Cela remonte à avril, mais cela m’avait échappé…

“Twitter sold data access to the Cambridge University academic who also obtained millions of Facebook users’ information that was later passed to a political consulting firm without the users’ consent. Aleksandr Kogan, who created a personality quiz on Facebook to harvest information later used by Cambridge Analytica, established his own commercial enterprise, Global Science Research (GSR). That firm was granted access to large-scale public Twitter data, covering months of posts, for one day in 2015, according to Twitter.”

Source : Twitter Sold Data Access to Cambridge Analytica-Linked Researcher – Bloomberg

Psy Group exemple - Lion

“The campaign official, Rick Gates, sought one proposal to use bogus personas to target and sway 5,000 delegates to the 2016 Republican National Convention by attacking Senator Ted Cruz of Texas, Mr. Trump’s main opponent at the time. Another proposal describes opposition research and “complementary intelligence activities” about Mrs. Clinton and people close to her, according to copies of the proposals obtained by The New York Times and interviews with four people involved in creating the documents.”

Source : Rick Gates Sought Online Manipulation Plans From Israeli Intelligence Firm for Trump Campaign – The New York Times

“A Facebook psychology researcher who previously helped harvest millions of Facebook users’ profiles for the controversial Trump campaign contractor Cambridge Analytica has left the tech giant. In December 2015, when it said it first learned that a pair of Cambridge University researchers had sold the harvested user data to the election firm, Facebook began an investigation and demanded the data be deleted. Around the same time, it also hired Joseph Chancellor, one of the two researchers.”

Source : Facebook quietly parts ways with employee tied to its data scandal

“Exit donc Cambridge Analytica ? Pas vraiment ! En réalité, les équipes chargées de ces opérations ne se sont pas dispersées ; leurs algorithmes et leurs bases de données n’ont pas disparu. En fait, les stratèges électoraux du président Trump ont effectué une restructuration juridique et financière de leurs sociétés, sans se soucier de la tempête médiatique, qui s’est déjà essoufflée. Leur objectif à court terme est de mettre leurs talents au service des républicains lors les élections de mi-mandat, qui se dérouleront le 6 novembre. Par ailleurs, ils ont déjà lancé la campagne en vue de la réélection de Donald Trump en 2020”.

Source : Cambridge Analytica est morte, vive Data Propria !

“Dans la Silicon Valley comme ailleurs, les stupidités, les escroqueries ou les erreurs stratégiques sont les contreparties du manque de discernement. On aurait tort de croire qu’elles sont dues à l’immaturité de flamboyants entrepreneurs. Les conseils d’administration des start-up californiennes sont largement composés d’experts en technologies de pointe et la moyenne d’âge dépasse 50 ans – 55 ans pour Facebook et même 75 ans chez Theranos !Mais la gouvernance de ces entreprises reste floue du fait que les dirigeants-fondateurs cumulent les fonctions de président et de directeur général et donc les pouvoirs de direction et de contrôle. De plus, les administrateurs sont souvent eux-mêmes des entrepreneurs de la Silicon Valley ou des fonds d’investissement qui les financent. Ce petit univers s’enthousiasme collectivement et s’autocélèbre collégialement. Il n’est pas étonnant que, dans une atmosphère aussi confinée où les montants des financements circulent sans entraves pour doper n’importe quel projet, on aboutisse parfois à des histoires hallucinantes”.

Source : Les « histoires hallucinantes » de la Silicon Valley

«L’enquête sur les acteurs de cet immense puzzle rappelle comment les historiens reconstituent les configurations politiques qu’ils étudient, les réseaux de collaboration et de sociabilité sur lesquels le pouvoir se fonde. Dans le cas de Facebook, Cambridge Analytica, les campagnes de Trump et du Brexit, les milliers de photos qui circulent sur les réseaux sociaux, des cocktails à l’ambassade et des conférences pseudo-scientifiques permettent de cartographier les connexions entre les politiciens britanniques et américains, les hommes d’influence russes, les ingénieurs de la tech. Et pour les analyser, Carole ­Cadwalladr n’hésite pas à solliciter ses followers sur ­Twitter, pour l’aider à trouver des informations qu’elle sait se trouver quelque part sur le Web, ou identifier les auteurs de tel ou tel document» – Claire Judde de Larivière.

Source : Pourquoi le Big Data ne change rien à l’enquête

«Pour une raison que j’ignore, peut-être à cause des élections de mi-mandats, on parle beaucoup de Facebook et Cambridge Analytica, alors que ce ne sont pas les premières violations de la sphère privée. L’information par le bais des réseaux sociaux n’est traditionnellement pas objective, mais elle est ciblée comme la publicité. Le grand public, et les politiciens, semblent le découvrir, mais cela n’est pas non plus nouveau. Quoiqu’il en soit tant mieux s’il y a enfin une prise de conscience, mais ce ne sont pas quelques promesses et critiques devant le Congrès américain qui suffiront à rétablir la confiance et respecter l’individu. Des mesures plus profondes sont nécessaires au niveau législatif» -Sylvain Métille.

Source : Scandale Facebook: «La Suisse n’est pas prête!» | Lausanne Cités

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