Étiquette : social networks (Page 2 of 3)

« L’application Algopol vous permet de visualiser et d’explorer votre réseau d’amis Facebook en fonction de l’histoire de votre compte et des interactions avec vos amis (likes, commentaires). L’application est développée dans le cadre d’un projet de recherche soutenu par l’Agence Nationale de la Recherche, afin d’étudier les discussions sur les réseaux sociaux. » (via app. Algopol)

La plus célèbre des agences de renseignement des États-Unis a ouvert un centre en Virginie afin de suivre l’activité globale sur les réseaux sociaux, les sites communautaires, les forums de discussion et les salons de messagerie instantanée. Tout ce qui est libre d’accès. D’où son nom. Baptisé Open Source Center, le service doit en quelque sorte prendre le pouls de l’opinion mondiale sur le web. (via La CIA surveille Facebook et Twitter)

Les chercheurs ont créé une centaine de profils imaginaires pour leur expérience : de faux noms, de fausses photographies, que les robots ont utilisés pour envoyer quelque 5 000 demandes “d’amitié” à des utilisateurs inconnus et rejoindre ainsi leur réseau en ligne. Près d’une personne sur cinq a accepté ces demandes (19 %), sans pourtant connaître les visages sous lesquels ces robots se déguisaient. (via THE SOCIALBOT NETWORK – Des chercheurs pointent la vulnérabilité de Facebook aux « robots sociaux » | Big Browser)

When Alexandra Wallace recorded her rant about Asian students using cellphones in the library at the University of California, Los Angeles, she was alone, speaking to her computer.

But since she posted the three-minute video to YouTube, Ms. Wallace, a third-year political science student at U.C.L.A., has achieved a sudden, unwelcome celebrity: her video has been viewed by millions of people, and she has become the subject of nationwide condemnation and the catalyst of a debate about racial intolerance and free speech.

In 2009, the social networking site helped exonerate Mr. Bradford after prosecutors charged him with a robbery in Brooklyn. Mr. Bradford countered that he was at his father’s home in Manhattan at the time. He even had posted a joking complaint on Facebook about breakfast. Subpoenaed records from Facebook backed up Mr. Bradford’s alibi, and the charges against him were dropped. But a year later, while Mr. Bradford, 20, was out on bail on a charge that he had assaulted a relative of his girlfriend, prosecutors hauled him back before a judge to explain a disturbing message that had appeared on the girlfriend’s Facebook account. The posting, written by a friend of the woman, warned her that Mr. Bradford had evil intentions.

« Older posts Newer posts »

© 2024 no-Flux

Theme by Anders NorenUp ↑