Thomas Landrain a découvert le mouvement Diybio en 2009. A l’époque il travaillait déjà en milieu universitaire, mais, a-t-il expliqué, dans un contexte académique, on est contraint par une ligne de recherche. De fait, les biohacklabs, financés par leurs membres, ont plus de liberté. On peut également y organiser des débats, poursuivre une réflexion…