Mois : mars 2013 (Page 4 of 8)

La Hadopi préconise donc aux sites de téléchargement légal de se positionner tôt sur les noms des films (avant leur sortie), de s’associer aux sites “éditoriaux” pour profiter de leur bon référencement et de choisir des mots-clés plus populaires, par exemple plutôt tenter d’apparaître sur “streaming” plutôt que sur “VOD”, ce qui sonne comme un conseil de bon sens. Dans un rapport publié fin février, la Hadopi réfléchissait également dans l’autre sens, en imaginant un déclassement des résultats illicites par Google lui-même, pour privilégier les autres résultats. La visibilité ne serait pourtant pas le premier problème, selon les internautes. Seuls 8 % des internautes estiment ainsi que l’offre légale est difficile à trouver, selon la dernière étude de la Hadopi, datée de janvier. Toujours selon ce sondage, les internautes sont nettement moins nombreux à consommer uniquement des films sur des plateformes légales (67 %) qu’ils ne le sont pour les jeux vidéo (84 %) ou la musique (80 %). Les utilisateurs pointent surtout un prix trop élevé et une offre trop limitée. La rigidité de la chronologie des médias, soit l’arrivée tardive des films sur ces plateformes légales, est l’une des causes régulièrement soulignées du désintérêt des internautes pour l’offre légale, face à des téléchargements gratuits offrant plus de choix.

« ake a glimpse inside the new Microsoft Envisioning Center, where visitors can experience conceptual prototypes that explore how services and devices will help us stay connected and transform the way we live, work and play. » – Microsoft’s New Envisioning Center: Live, Work, Play (par Microsoft)

« What does it mean for online content to « go viral »? An analysis of almost a billion information cascades on Twitter news, videos, and photos has produced the first quantitative notion of whether something has indeed gone viral, thereby enabling further research into topic experts, trending topics, and viral-incident metrics. »

ViralSearch: Identifying and Visualizing Viral Content (par MicrosoftResearch)

Selon Der Spiegel, l’Office fédéral allemand pour la protection de la Constitution a recensé près de 1 100 cyberattaques de services secrets étrangers en 2012, visant pour la plupart des responsables politiques impliqués dans les secteurs de l’énergie ou de la finance.

Après avoir tenté en vain de prendre contact avec le Washington Post, le New York Times et Politico, il s’est tourné vers Wikileaks, qu’il surnomme “WLO” pour “WikiLeaks Organization”. Il voyait le site Internet créé par Julian Assange comme “dévoilant les activités illégales et la corruption”. “D’après mes observations, je décrirais les discussions sur le site de WLO comme étant de nature presque universitaire”, a-t-il ajouté.

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