« L’hypermnésie collective a changé d’échelle (…) : la puissance des moteurs de recherche a interdit que dans cet océan de données en ligne les informations se dispersent ou se fassent oublier [permettant] qu’à l’identité d’une personne restent attachées, de façon perpétuellement visible par tous, les traces indélébiles de l’ensemble des comportements ou caractéristiques qui, à tort ou à raison, lui ont été un jour prêtés ».

Source : Le Conseil d’Etat face au casse-tête du « droit à l’oubli »