Mois : juillet 2020

“Doctors and nurses at the hospital have been campaigning for the hospital to drop the name since it was first introduced in 2015, following a $75 million donation from Zuckerberg and his wife, Priscilla Chan, a pediatrician who used to work at the hospital. Over the years, hospital staff have expressed concern that the hospital is associated with Facebook and all of its problems and controversies—including, but not limited to, those related to privacy, unethical research, the dissemination of misinformation, hate speech, and disinformation.”

Source : “Zuck off”: Doctors, nurses, scientists rail against Zuckerberg | Ars Technica

“Sur le plan institutionnel, une majorité a beau être puissante, disposer de tous les leviers de pouvoirs, de la légitimité politique, le bon fonctionnement d’une démocratie parlementaire ne se résume pas à un vote à la majorité. Si cette majorité, aussi assise soit-elle, s’enferme dans un syndrome de surpuissance qui la rend sourde aux avis divergents et aux critiques, elle va dans le mur. La puissance et la raison ne vont pas nécessairement de pair.
Dans cette affaire, toutes les alertes ont été émises, mais le dialogue entre le parlement et les autres corps n’a pas fonctionné. Les instances consultatives ont été ignorées, la société civile s’est exprimée dans le désert, les critiques des oppositions ont été tenues pour du folklore. Le résultat est là. Ce pan de la démocratie s’est grippé et il en est résulté un texte déficient sur la forme comme sur le fond. Il a fallu qu’en dernier recours, en bout de chaîne, le chien de garde des institutions intervienne pour stopper cette dérive. Cette dernière étape montre au moins que nos institutions contiennent des garde-fous efficaces.”

Source : Loi Avia de lutte contre les contenus haineux : itinéraire d’une censure annoncée au nom de la liberté d’expression – Administratif | Dalloz Actualité

Atlas of Surveillance

“Law enforcement surveillance isn’t always secret. These technologies can be discovered in news articles and government meeting agendas, in company press releases and social media posts. It just hasn’t been aggregated before.That’s the starting point for the Atlas of Surveillance, a collaborative effort between the Electronic Frontier Foundation and the University of Nevada, Reno Reynolds School of Journalism. Through a combination of crowdsourcing and data journalism, we are creating the largest-ever repository of information on which law enforcement agencies are using what surveillance technologies. The aim is to generate a resource for journalists, academics, and, most importantly, members of the public to check what’s been purchased locally and how technologies are spreading across the country.”

Source : Atlas of Surveillance

https://s4.reutersmedia.net/resources/r/?m=02&d=20200714&t=2&i=1525716104&r=LYNXNPEG6D1JW&w=1200

“Google records what people are doing on hundreds of thousands of mobile apps even when they follow the company’s recommended settings for stopping such monitoring, a lawsuit seeking class action status alleged on Tuesday. The data privacy lawsuit is the second filed in as many months against Google by the law firm Boies Schiller Flexner on behalf a handful of individual consumers.”

Source : Google faces lawsuit over tracking in apps even when users opted out – Reuters

“En 1997, Henri M. a été nommé représentant officiel de la DGSE à Pékin, où il a occupé le poste de deuxième secrétaire à l’ambassade. Mais il a été rappelé en France dès le début de l’année 1998, après avoir entamé une liaison avec l’interprète chinoise de l’ambassadeur. Il a pris sa retraite quelques années plus tard et est retourné en Chine en 2003, où il a épousé l’ex-interprète, avec laquelle il s’est installé sur l’île de Hainan, dans le sud de la Chine. Pourquoi ont-ils été interpellés si tard ? Il y aurait eu, selon un bon connaisseur du dossier, une faille au sein de la DGSE et Henri M. n’aurait pas été surveillé pendant des années après son départ à la retraite.”

Source : Soupçonnés de trahison au profit de la Chine, deux ex-agents de la DGSE face à la justice

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“Les autorités judiciaires et policières françaises et néerlandaises ont annoncé, jeudi 2 juillet, le démantèlement d’un réseau mondial de communications cryptées, appelé EncroChat, utilisé quasi exclusivement par des groupes criminels.« C’est comme si nous étions à la table de discussions des criminels, en direct, c’est ce qui rend l’enquête unique », a résumé Janine van den Berg, cheffe de la police néerlandaise lors d’une conférence de presse à La Haye (Pays-Bas), au siège d’Eurojust, l’organisme de coopération judiciaire entre pays européens. « On a utilisé le fait que les criminels font confiance aveuglément à la crypto-communication et parlent librement », a renchéri son collègue Andy Kraag, comparant ces informations à « une mine d’or nous fournissant des preuves qui nous auraient coûté des années [à établir] en temps normal ».”

Source : Démantèlement d’un réseau de téléphonie cryptée, utilisé par des organisations criminelles

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