«L’histoire dépasse les fake news habituelles pour se rapprocher de la désinformation et du sabotage journalistique à visée politique.« L’essence de ce complot a été de nous tromper et de nous ridiculiser », écrit le directeur de la rédaction du Post, Marty Baron. Dans un rare exercice de métajournalisme, ses journalistes ont scrupuleusement relaté les détails de ce « complot », de la première rencontre jusqu’aux doutes et à la confirmation qu’ils étaient bien en train d’être piégés par une lanceuse d’alerte qui n’en était pas une».

Source : Faux témoignages, caméras cachées : comment le « Washington Post » a géré une campagne de déstabilisation