«En France, Huawei a su trouver des interlocuteurs de choix, comme Orange, qui a adopté  les solutions de l’entreprise au mépris des risques. Alors qu’il devait construire un cloud souverain, l’entreprise française a décidé en mars de choisir les serveurs et les logiciels de Huawei pour son cloud professionnel. Une décision qui était remontée jusqu’à l’Élysée, les services secrets français ayant sonné l’alarme».

Source : Pour le Congrès américain, les smartphones de Huawei sont à bannir – Politique – Numerama