«Le numérique ne se substitue jamais à une réalité, que ce soit l’information, le transport ou la politique mais l’augmente et l’élargit. Ce peut donc être tout autant le totalitarisme augmenté que la démocratie augmentée.Nous avons déjà des outils juridiques pour gérer cela, comme la Commission informatique et liberté et ses règlements, mais il me paraît essentiel d’aller plus loin en provoquant de vrais débats de société sur cette double dialectique entre privé et public et entre sécurité et liberté dont les frontières sont aujourd’hui profondément remises en cause».

Source : Pierre Musso : « L’identification des personnes pose des questions éthiques profondes »