«Concrètement, Grindr, qui revendique 3,6 millions d’utilisateurs actifs quotidiens, a communiqué à au moins deux entreprises tierces le « statut VIH » que ses membres sont invités à renseigner sur leur profil s’ils le souhaitent, avec éventuellement la date de leur dernier test. De plus, cette information médicale est identifiable, dénonce Sintef, car l’application transmet aussi le numéro de téléphone et l’e-mail des utilisateurs, ainsi que leur localisation géographique GPS – une fonctionnalité qui a fait le succès de l’application dès son lancement, en 2009, dans la mesure où elle permet de voir qui est disponible pour une rencontre à proximité».

Source : Données privées : le site de rencontres Grindr mis en cause