“La principale nouveauté introduite au cours de la dernière décennie tient à l’émergence d’un troisième marché, venant se superposer à la vente de produits culturels et à celle de l’attention qu’ils attirent. Ce sont désormais nos « traces attentionnelles » qui font l’objet du commerce dont se nourrit l’économie de l’attention. L’innovation la plus « disruptive » des media électroniques ne tient pas à ce qui s’affiche sur nos écrans numériques, mais aux informations moissonnées à propos des gestes attentionnels que l’interactivité nous invite à exercer ”

Source : Big data : « Ce sont désormais nos “traces attentionnelles” qui font l’objet du commerce »