Vue d’artiste de la future « Google City » à Toronto (Ontario, Canada).

“Pour relier le futur quartier au centre-ville, la société engage la collectivité à créer une nouvelle ligne de métro léger et propose, magnanime, de lui prêter les fonds. Enfin, estimant qu’on ne peut pas innover dans les vieux cadres réglementaires, Sidewalk Labs suggère qu’on le laisse créer cinq organes de gouvernance ad hoc pour gérer les transports, l’urbanisme, les déchets, etc., en lieu et place des autorités municipales existantes. « Cela reviendrait à créer une zone économique spéciale, avec une privatisation de la gouvernance : c’est un accaparement du pouvoir, doublé d’un accaparement de terres et d’un accaparement de données », fulmine Thorben Wieditz.”

Source : A Toronto, « Google City » à quitte ou double