Des talibans contrôlent des conducteurs dans le centre de Kaboul, en Afghanistan, le 15 septembre 2021.

“Lorsque Kaboul est tombée aux mains des talibans, le 15 août, Nilofar Ayoubi a créé, avec ses amies militantes des droits humains, un groupe WhatsApp sur lequel elles échangeaient les dernières informations. « C’est sur ce groupe que j’ai découvert le dispositif mis en place par Facebook pour les Afghans. Je l’ai donc utilisé pour verrouiller mon compte Facebook. J’ai aussi changé la photo et le nom de mes comptes Instagram et Twitter, tout en les rendant privés », explique cette entrepreneuse afghane. Figure de l’opposition aux talibans, cette mère de trois enfants vit aujourd’hui en exil en Pologne.”

Source : Ces Afghans qui effacent leurs traces numériques par crainte des talibans