Le CSA veut donc non seulement réguler le web, mais aussi tout mode d’accès aux contenus en tous genres, dès lors que la distribution de ces contenus permet d’influencer sur ceux qui sont téléchargés. L’Android Play de Google et l’App Store d’Apple sont bien sûr concernés, en ce qu’ils distribuent les applications installées sur Android et iOS, mais pas seulement. Facebook, qui joue lui aussi le rôle de boutique d’applications HTML/javascript dédiées au réseau social, pourrait lui aussi devoir se soumettre aux pouvoirs de régulation du CSA. Tout comme Google, plus largement, en qualité de moteur de recherche.