« Personne ne devrait réagir à la seconde à une information véhiculée par Twitter », expliquait Keith Bliss, vice-président du courtier Cuttone & Co. Pour John Carey, gestionnaire de fonds chez Pioneer Investment Management, le « faux tweet » piraté d’AP est l’équivalent « d’une rumeur, et des rumeurs, il y en a eu énormément, depuis des années, qui ont influé sur les cours jusqu’à ce que les investisseurs se rendent compte qu’elles étaient infondées ». La seule différence est que, cette fois, la rumeur était informatisée, son origine paraissait hyperfiable et elle a instantanément touché près de 2 millions de personnes… Et demain ?