Le problème, ce n’est pas Facebook ni les réseaux sociaux, mais ce que l’on y fait, et comment. En l’espèce, un “réseau social” n’a pas pour vocation première de protéger notre “vie privée”, mais de nous permettre de mener une “vie sociale”, et donc “publique” par défaut, “privée” lorsque l’on y prend soin de se protéger.