Bruxelles enquête sur des allégations selon lesquelles Microsoft n’a pas fourni des interfaces de programmation (API) complètes pour les navigateurs concurrents, a-t-il précisé. Microsoft est également soupçonné de n’autoriser que l’installation de son navigateur, Internet Explorer, sur les tablettes fonctionnant sous Windows RT et équipées de processeurs ARM. Le groupe américain s’est refusé à tout commentaire.