D’un côté, le vieillissement, l’épuisement de la croissance, l’endettement de tous, les inégalités, la déconnexion de la finance de l’économie réelle. De l’autre, l’entrée du monde dans l’ère de la connaissance, de la qualité plutôt que la quantité, de la vie prolongée et de l’homme augmenté. Mais entre les ruines du fordisme et les dangers du schumpétérisme, nos peuples ne savent pas choisir. Les politiques ne font que refléter ce trouble. Ils sont transis.

Source : Entre les ruines du fordisme et les dangers du schumpetérisme