Après quelques mois et une enquête approfondie, à laquelle Le Monde a eu accès en avant-première, Amnesty affirme que Voiceless Victims n’est pas une véritable ONG. Et, pire, que cette organisation fantôme située en France a tenté, par le biais de pièces jointes insérées dans ses courriels, de les espionner.

Source : Comment une ONG fantôme a tenté d’espionner Amnesty International