Ces propos n’engagent que leur auteur…

«Les réseaux sociaux, Twitter et Facebook en tête, fonctionnent comme des vigies collectives, scrutant sans relâche l’espace médiatique. Le moindre faux pas y est repéré, analysé et jeté en pâture à une foule d’anonymes, dans ce qui n’est qu’une version moderne de la société de surveillance panoptique».

Source : A l’âge de l’indignation identitaire, « ne peut-on vraiment rire de rien ? »