Si les greffiers ont voulu aller au bout de la démarche en proposant un accès aux données brutes et manipulables, via une API (Application programming interface, une interface de programmation applicative), c’est qu’ils entendent contrer la volonté du gouvernement de confier la diffusion gratuite des données contenues dans leur registre à l’Institut national de propriété intellectuelle (INPI).

Source : L’open data sur Infogreffe n’est pas encore pour demain | J’ai du bon data