Étiquette : fact checking (Page 1 of 2)

“One of the signals we use is how people interact with articles,” Lyons said in a follow-up email. “For example, if someone previously gave us feedback that an article was false and the article was confirmed false by a fact-checker, then we might weight that person’s future false-news feedback more than someone who indiscriminately provides false-news feedback on lots of articles, including ones that end up being rated as true.” The score is one signal among many that the company feeds into more algorithms.

Source : Facebook is rating the trustworthiness of its users on a scale from zero to 1 – The Washington Post

« Ces éminents professionnels ont été victimes du fameux biais cognitif, des “bulles de consentement” amplement décrits concernant la campagne de Trump : ils ont relayé ce texte car ils voulaient y croire. Ils souhaitaient qu’il soit vrai, que la pollution vienne d’Allemagne, et que personne ne l’ai dit. Que ce soit pour mieux nourrir leur croisade contre le factcheck ou car cela correspond à leurs préjugés, le fait est qu’ils se sont comportés non en journalistes, mais en internautes lambda : je vois passer un contenu, il va dans le sens de mes convictions, je le relaie ». – Samuel Laurent

Source : Comment meurent les faits : autopsie de la propagation d’une intox – Medium

« Il n’est pas toujours aisé d’établir la véracité d’une information dans son ensemble. Toutefois, en collaborant et en s’engageant à suivre une procédure de vérification transparente, nous pouvons contribuer à attester de la fiabilité et de l’exactitude de certains éléments. Ainsi, nous visons à fournir au public les informations nécessaires afin qu’il tire ses propres conclusions. Des rédactions régionales, nationales et internationales prennent part à CrossCheck et nous comptons également sur la participation du public ».

Source : Élection française – CrossCheck

Les think tanks et les faux mouvements de pression financés par des entreprises puissantes sont partout et les fausses informations sont alimentées par des groupes qui ne révèlent pas leurs intérêts ni ne sont transparents sur ce qu’ils financent. Dépolitiser nécessite donc d’être plus clair sur ce qui est politique, sur ce qui relève encore et toujours de l’idéologie et de ses formes instituées.
Nous n’avons pas connu d’âge d’or démocratique conclut Nyhan. Les faits n’ont jamais dominé l’opinion publique, les médias ou le discours politique…

Source : Peut-on répondre à la désinformation ? | InternetActu.net

News Feed FYI: Addressing Hoaxes and Fake News

« We believe providing more context can help people decide for themselves what to trust and what to share. We’ve started a program to work with third-party fact checking organizations that are signatories of Poynter’s International Fact Checking Code of Principles. We’ll use the reports from our community, along with other signals, to send stories to these organizations. If the fact checking organizations identify a story as fake, it will get flagged as disputed and there will be a link to the corresponding article explaining why. Stories that have been disputed may also appear lower in News Feed.

Source : News Feed FYI: Addressing Hoaxes and Fake News | Facebook Newsroom

Google, les algorithmes, l’autorité et la vérité

final election results

Le débat est vif quant à la responsabilité de Google, Facebook et Twitter dans le résultat de l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis. Ce débat est loin d’être terminé, tant il soulève des enjeux d’une rare complexité. La dernière en date porte sur la présence d’une information factuellement fausse dans les premiers résultats proposés par Google à la requête « final election numbers ».

C’est manifestement le cas depuis de nombreuses configurations (navigateur, IP,…), dont la mienne (cf. supra).

Beaucoup d’analyses, trop nombreuses, ne perçoivent pas que cette critique ne remet pas en cause ce résultat, mais le fonctionnement global de Google. Plus précisément,  cette critique consiste à déplacer la pertinence des résultats de Google de l’autorité à la vérité. Or, la vérité est un problème autrement plus complexe que l’autorité, et Google, comme Facebook, ne vont probablement pas accepter cette responsabilité.

À présent, la démarcation entre média et plateforme se fait de plus en plus criante, et révèle les enjeux sous-jacents d’une telle distinction, dont la dimension politique ne pourra pas être évacuée indéfiniment.

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