Étiquette : p2p

«PeerTube ne centralise pas : il fédère. Grâce au protocole ActivityPub (utilisé aussi par la fédération Mastodon, une alternative libre à Twitter) PeerTube fédère plein de petits hébergeurs pour ne pas les obliger à acheter des milliers de disques durs afin d’héberger les vidéos du monde entier. Un autre avantage de cette fédération, c’est que chacun·e est indépendant·e. Zaïd, Catherine, Solar et vous-même pouvez avoir vos propres règles du jeu, et créer vos propres Conditions Générales d’Utilisation (on peut, par exemple, imaginer un MiaouTube où les vidéos de chiens seraient strictement interdites 🙂 )».

Source : PeerTube bêta : une graine d’alternative à YouTube vient d’éclore – Framablog

BitTorrent Inc conteste depuis longtemps l’idée selon laquelle son protocole P2P ne sert qu’à pirater des contenus protégés par le droit d’auteur. Signe du désir de se rapprocher de l’industrie culturelle, le groupe a essayé dès février 2007 de proposer une plateforme avec des contenus payants (BitTorrent Entertainment Network) mais cela n’a pas fonctionné et elle a fermé en 2008.L’on pourrait aussi citer le partenariat avec Rapid Eye Studios tissé en 2015 pour produire des séries télévisées qui seront proposées en priorité sur le réseau P2P, toujours dans cet effort de ne pas uniquement servir à relayer des contenus mais aussi d’en créer. Force est de constater que la sauce a du mal à prendre pour certains de ses projets. Now en est la démonstration la plus flagrante aujourd’hui.

Source : Streaming : BitTorrent trébuche dans le divertissement – Business – Numerama

La peur d’un procès aurait attisé les divergences stratégiques déjà présentes entre les développeurs : l’un des points de discorde était un VPN, un service de protection codéveloppé par Wally, afin d’offrir aux internautes la possibilité de ne pas être visibles des instances de contrôle du téléchargement illégal, comme la Hadopi française.
Ce système, payant, était dangereux aux yeux de certains membres de l’équipe : ces derniers étaient persuadés que l’absence de revenus du service gratuit était une des meilleures défenses juridiques de PopcornTime.io en cas de procès. Wally a eu beau affirmer ne pas « vouloir faire de l’argent » et chercher à assurer la pérennité de son service, le divorce était consommé.

Source : Popcorn Time : les déboires du « Netflix du piratage »

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