Étiquette : public sphere

Pourquoi le Parti pirate a été banni de Twitch pendant le débat de la droite

“Le problème qu’ont subi à la fois Hugo Décrypte et le Parti pirate en rediffusant sur Twitch des contenus produits par d’autres groupes au nom du droit de traiter de l’actualité et du droit à l’information pourrait devenir de plus en plus prégnant à mesure que l’échéance présidentielle se rapproche. Les émissions politiques vont se multiplier d’ici avril 2022 et, avec elles, les envies de participer au débat démocratique, y compris, donc, sur Twitch.”

Source : Pourquoi le Parti pirate a été banni de Twitch pendant le débat de la droite

“Et dans ce domaine, les 15 membres qui ont composé cet organe temporaire jugent qu’il faudra en passer par une meilleure formation des forces de l’ordre vis-à-vis du droit applicable. En effet, le rapport considère qu’il y a un important travail de pédagogie à faire à l’égard des policiers et des gendarmes pour leur rappeler qu’ils n’ont pas le droit d’interdire au public, et encore moins aux journalistes, de les filmer.”

Source : Un rapport conseille de rappeler aux policiers qu’ils n’ont pas le droit d’interdire qu’on les filme

Parler partially reappears with support from Russian technology firm

“On Monday, Parler’s website was reachable again, though only with a message from its chief executive saying he was working to restore functionality. The internet protocol address it used is owned by DDos-Guard, which is controlled by two Russian men and provides services including protection from distributed denial of service attacks, infrastructure expert Ronald Guilmette told Reuters. ”

Source : Parler partially reappears with support from Russian technology firm | Reuters

“The hearing highlighted the partisan divisions over Silicon Valley’s recent crackdown on misinformation that have been evident throughout the election campaign, with Republicans accusing the companies of going too far in labeling or otherwise limiting the spread of falsehoods and Democrats demanding they do more, especially as Trump and his allies continue to use Twitter and Facebook to spread claims of election fraud without evidence.”

Source : Dorsey, Zuckerberg face senators in another tech hearing on how they handle disinformation – The Washington Post

Google Amnesty Surveillance

“Nous avons déjà constaté que la vaste architecture publicitaire de Google et Facebook est une arme puissante entre de mauvaises mains. Elle peut être détournée à des fins politiques, au risque de conséquences désastreuses pour la société, et laisse le champ libre à toutes sortes de nouvelles stratégies publicitaires aux relents d’exploitation, comme le fait de s’en prendre à des personnes vulnérables qui luttent contre la maladie, les troubles mentaux ou l’addiction. Parce que ces publicités sont faites sur mesure pour des individus, elles échappent à l’examen public”

Source : La surveillance intrusive exercée par Facebook et Google : un danger sans précédent pour les droits humains | Amnesty International

“Dans l’un de ses messages publiés le 28 août, Donald Trump menace directement Google : « Cette situation est très grave, et nous allons nous en occuper. » Le 5 septembre, le PDG de Twitter, Jack Dorsey, est convoqué par la majorité républicaine devant une commission du Congrès, où il sera interrogé sur les règles de modération de son réseau social — la majeure partie des questions de la droite devrait concerner la prétendue « censure » visant les conservateurs”.

Source : Donald Trump accuse Twitter et Google actualités de « censure »

« Je ne connais pas les critères exactes de ce tri algorithmique mais il me semble qu’il privilégie des comptes populaires ou certifiés, et des contenus déjà largement diffusés et participe à l’extinction de la conversation des lambda.Bref, hier soir, c’est comme si l’agora s’était vidée du peuple. Et c’est triste : j’ai l’impression que quelque chose est mort dans Twitter ». – Xavier de La Porte

Source : Hier soir, quelque chose est mort dans Twitter

Pour les renseignements outre-Rhin, la désinformation englobe autant les problèmes créés par les bots que ceux engendrés par les bulles filtrantes mais surtout les click farms, dont on connait aujourd’hui la responsabilité dans la diffusion de la désinformation. Ces fermes numériques, où sont exploités des employés condamnés à une pauvreté certaine en échange de clics et de faux comptes utilisés à travers le monde, auraient pesé pour diffuser largement de la désinformation. Pour Berlin, derrière les faux chiffres et les manipulations des algorithmes organisées par les médias extrémistes ou russophiles, le Kremlin a eu un vrai rôle à jouer. Ainsi, autant dans le financement des différentes formes de déstabilisations politiques, que dans l’organisation de celles-ci, le gouvernement russe et ses services de renseignement auraient une part de responsabilité que le BfV compte dénoncer.

Source : De Breitbart à APT28, l’Allemagne remonte la piste de la désinformation – Politique – Numerama

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