Étiquette : lobbyists

Nick Clegg

“L’ancien vice-premier ministre va devoir faire oublier ses diatribes contre la façon dont Facebook esquive l’impôt, et sa critique des prétentions des réseaux sociaux à changer le monde en bien. « Je ne suis pas spécialement ébloui par Facebook, écrivait-il en 2016 dans l’Evening Standard. Je trouve un peu agaçante la culture messianique californienne de Facebook où tout le monde est ami. » Aujourd’hui, alors que Facebook est accusé d’avoir influencé les élections américaines et le référendum sur le Brexit, Nick Clegg affirme son désir de s’attaquer aux immenses défis des réseaux sociaux que sont notamment « le contrôle sur les données personnelles, l’intégrité de notre processus démocratique, les tensions entre l’Internet mondial et les institutions nationales, l’équilibre entre la libre expression et les contenus illégaux ». Après avoir codirigé un pays, le voilà engagé pour « construire des ponts entre la politique et la technologie afin que cette dernière puisse se mettre au service du progrès et de l’opt”

Source : Nick Clegg, du service de Sa Majesté à celui de Facebook

«Le Conseil des Etats a refusé d’assouplir une ordonnance sur le rayonnement émis par les antennes de téléphonie mobile, compromettant le lancement, en 2020, de la 5G. Les opérateurs télécoms sont furieux, mais les milieux de la santé demandent d’être prudents»

Source : Le virage numérique suisse est menacé – Le Temps

Google

«Les apprentis sorciers seraient mieux avisés de continuer à s’entraîner sur des crapauds plutôt que sur des entreprises qui augmentent le bien-être du consommateur.Cela ne veut pas dire que les GAFA doivent être exemptées de tout examen au titre du droit de la concurrence. Mais les démanteler n’est pas la bonne réponse, tant les effets d’une telle action seraient incontrôlés et risqueraient de mettre en péril des technologies dont certains prédisent qu’elles sont vouées à doubler la production mondiale toutes les deux semaines» – Thibault Schrepel.

Source : « Diaboliser les GAFA est politiquement porteur, mais éloigné de toute démarche scientifique »

A New York, la société a dépensé 11 millions de dollars en lobbying. Et 8 millions l’an passé à San Francisco. Cet été, elle a recruté des anciens maires de Philadelphie, Houston, Rome et Adelaide pour l’aider à négocier avec les municipalités. Ces incertitudes réglementaires n’ont pas fait fuir les investisseurs. Le mois dernier, Airbnb a levé 555 millions de dollars, sur la base d’une valorisation de 30 milliards. Le dossier new-yorkais pourrait en revanche retarder une introduction en Bourse, attendue par certains observateurs dès 2017.

Source : A New York, une nouvelle loi menace l’avenir d’Airbnb | Silicon 2.0

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