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Pourquoi Aaron Swartz a tellement marqué Internet ?

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“Il est de ces figures de l’ombre méconnues du grand public, mais dont l’impact résonne toujours aujourd’hui. Le 11 janvier 2023, Aaron Swartz aurait eu 36 ans. Mais, il y a 10 ans, ce jeune Américain s’est donné la mort, écrasé par la pression d’un procès contre lui, qui allait s’ouvrir un mois plus tard autour de son hacktivisme en faveur du libre savoir.
La disparition brutale d’Aaron Swartz a constitué un choc parmi les internautes qui partageaient ses convictions, et même au-delà. Elle a surtout exposé au grand jour le débat sur l’accès sans contrainte aux connaissances scientifiques. Un débat qui reste toujours d’actualité aujourd’hui, et qui s’est depuis propagé à d’autres domaines, comme la culture.
Aujourd’hui, Aaron Swartz n’est plus. Mais, dix ans après sa disparition, le web a gardé des traces toujours vivaces de son activisme. Que ce soit Reddit, les RSS, les licences libres Creative Commons, la lutte contre les lois SOPA et PIPA et sur les enjeux du libre accès aux connaissances scientifiques. Son héritage est toujours bien vivant, dix ans plus tard.”

Source : Pourquoi Aaron Swartz a tellement marqué Internet – Numerama

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“Today marks 20 years since the source code to OpenOffice was released. And today we say: LibreOffice is the future of OpenOffice. Let’s all get behind it! It’s great to have a rich and diverse set of free and open source software projects. Hundreds of millions of people around the world have benefited from the choice and customisation that they bring. But sometimes, users can lose out when they’re not aware of newer alternatives, or when one brand overshadows another.”

Source : Open Letter to Apache OpenOffice – The Document Foundation Blog

Le logiciel privateur surveille ses utilisateurs, décide de ce qu’il est possible de faire avec ou pas, contient des portes dérobées universelles qui permettent des changements à distance par le propriétaire, impose de la censure. Lorsqu’on l’utilise, on se place forcément sous l’emprise de la compagnie qui le vend. Avec ce pouvoir, le propriétaire est tenté d’imposer des fonctionnalités pour profiter des utilisateurs. On ne peut décider librement du code que l’on installe ou pas. On est donc forcément soumis et moins libre.

Source : Éradiquer Facebook pour sauver la démocratie | Le Devoir

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