Mois : octobre 2019 (Page 1 of 6)

Le phénomène « Fortnite » passionne les enfants et les adolescents. De plus en plus de parents s’inquiètent de voir leurs enfants devenir addicts.

“Psychologue et psychothérapeute, spécialiste de l’hyperconnectivité, le Suisse Niels Weber reçoit, depuis près de dix ans, des enfants, des adolescents et parfois des adultes, ayant une pratique jugée excessive du jeu vidéo. Lui-même joueur et président d’une association non lucrative de promotion de la culture vidéoludique, Gaming Federation, il invite à ne pas tomber dans un discours anxiogène : une consommation intensive des écrans par un adolescent, constate-t-il dans ses entretiens, n’est pas la cause, mais le symptôme, de problèmes plus profonds. Et peut même servir d’outil thérapeutique.”

Source : Niels Weber : « Parents, intéressez-vous aux jeux vidéo auxquels jouent vos enfants ! »

“Contrairement à des pays comme l’Australie, où le gouvernement local a adopté une loi obligeant les entreprises de haute technologie à amoindrir la sécurité du chiffrement, la police suédoise empruntera la bonne approche : la voie allemande. Depuis plus de dix ans, les autorités allemandes ont commencé à déployer une souche de logiciels malveillants appelée Bundestrojaner (cheval de Troie fédéral) dans le cadre de leurs enquêtes. Le plan de la police suédoise est similaire et prévoit de déployer des logiciels malveillants dotés de fonctionnalités semblables à celles des logiciels espions sur les appareils des suspects. L’idée est d’écouter des appels audio ou vidéo chiffrés en temps réel ou d’extraire des journaux de discussion à partir d’applications de messagerie instantanée chiffrées.”

Source : La police suédoise pourra déployer des malwares dans ses enquêtes – ZDNet

“Comme le rappelle Robison, cette option n’est d’ailleurs pas restreinte à Internet : « Elle est disponible depuis longtemps sur les lecteurs DVD ». Elle l’assure d’ailleurs : « C’est une fonctionnalité qui est fréquemment demandée par nos abonnés. Par exemple, par celles et ceux qui aimeraient revoir leurs scènes préférées, ou qui veulent ralentir le débit, car il s’agit d’un contenu en langue étrangère. »”

Source : Netflix : pourquoi l’option pour accélérer le visionnage est-elle si critiquée ? – Business – Numerama

“Learn how the Google AI Quantum team demonstrated how a quantum computer can perform a task no classical computer can in an experiment called « quantum supremacy”

via Google – YouTube

“Contributions to open science and open access were considered the least important aspects of academic work for researcher assessment among a list of aspects presented to respondents by the EUA, the association reported on 22 October. Only 38 per cent of 197 institutional respondents considered open science and open access “important” or “very important” to their evaluations. Thirty-six per cent attributed little or no importance to these aspects of academic work.”

Source : Open science not a priority in evaluation, survey finds – Research Professional News

“Le parlement européen a voté la directive au printemps, le parlement français l’a transposée en droit français à la quasi-unanimité cet été. Pourtant ce texte tant attendu risque d’être vidé de toute portée avant même sa mise en œuvre. Et cela pourrait s’étendre à toute l’Europe.Refusant toute négociation, Google a offert aux medias un cynique choix de dupes.
Soit ils signent un blanc-seing à Google en renonçant à rémunération, et le modèle actuel à base de gratuité perdure. C’est la mort lente, qui a commencé de vider les salles de rédaction en Europe comme aux Etats-Unis.
Soit ils refusent, continuant d’espérer une rémunération. Et on leur promet de redoutables représailles : la visibilité de leurs contenus sera réduite à sa plus simple expression. Plus de photo, plus de textes, un bout de titre, rien de plus, apparaîtra quand les internautes feront des recherches sur une information.
Un suicide pour la presse. Car avant d’arriver sur un site de media, la porte d’entrée des internautes c’est Google. Les autres moteurs de recherche pèsent trop peu. Les éditeurs le savent : ils n’ont pas les moyens financiers de supporter la chute vertigineuse de trafic sur leurs sites que cette mesure entrainera.
Google bafoue la loi. Il en exploite les subtilités en détournant son esprit.”

Source : Open letter – October 2019

“Nous pensons que vouloir faire payer Google pour des absurdités liées au référencement est une très mauvaise idée pour la presse en ligne. La Directive droit d’auteur est d’ailleurs si mauvaise et si peu adaptée aux enjeux modernes que Google peut refuser légalement de payer une redevance en incluant un opt-in — beaucoup de médias, ceux du groupe Humanoid inclus, sont d’ailleurs déjà prêts, d’après Mind News.Plutôt que de demander rémunération pour justifier l’immobilisme, nous appelons la presse à se poser les bonnes questions pour se transformer efficacement et envisager un avenir où Google n’est qu’un cadre de plus pour référencer du journalisme de qualité.”

Source : Pourquoi nous ne voulons pas que Google nous paie pour référencer nos articles – Société – Numerama

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