Étiquette : moderation (Page 6 of 8)

“Les internautes ayant regardé une vidéo du journal local, le Volksstimme (« La Voix du peuple »), sur YouTube, peuvent ensuite se voir proposer automatiquement une vidéo conspirationniste expliquant que la « version officielle » des faits est forcément un mensonge, publiée par un compte diffusant aussi des vidéos faisant du réchauffement climatique un complot”.

Source : En Allemagne, des vidéos YouTube conspirationnistes jettent de l’huile sur le feu

“Wordpress.com, la principale plate-forme d’hébergement de sites Web dans le monde, a supprimé ces derniers jours plusieurs sites conspirationnistes liés au massacre de Sandy Hook, dans lequel vingt-huit personnes dont vingt enfants avaient été tués en 2012. Aux Etats-Unis, une théorie du complot, popularisée notamment par le présentateur d’extrême droite Alex Jones, prétend que ce massacre ne s’est jamais produit, et que les victimes étaient en réalité des acteurs payés par le gouvernement”.

Source : WordPress.com supprime plusieurs blogs conspirationnistes

“One EU official said the commission’s push for an EU-wide law targeting terrorist content reflected concern that European governments would take unilateral action. Germany this year enforced a high profile “hate speech” law that targets anything from fake news to racist content. Companies must remove potentially illegal material within 24 hours or face fines of up to €50m. The EU still opts for self-regulation by platforms on more subjective areas such as hate speech and fake news”.

Source : Brussels to act against tech groups over terror content | Financial Times

“Dans l’un de ses messages publiés le 28 août, Donald Trump menace directement Google : « Cette situation est très grave, et nous allons nous en occuper. » Le 5 septembre, le PDG de Twitter, Jack Dorsey, est convoqué par la majorité républicaine devant une commission du Congrès, où il sera interrogé sur les règles de modération de son réseau social — la majeure partie des questions de la droite devrait concerner la prétendue « censure » visant les conservateurs”.

Source : Donald Trump accuse Twitter et Google actualités de « censure »

“The spike in popularity comes after a number of major platforms dropped Infowars this week on the grounds that the show’s conspiracy theories violate community guidelines. Yesterday, Apple pulled five of Jones’ six Infowars-branded podcasts from its Podcasts app. Since then, Facebook, YouTube, Spotify, and others have all taken steps to remove Jones’ content from their platforms. Previously, the Alex Jones Channel had more than 2.5 million subscribers.
Following these removals, the Infowars app was flooded with five-star reviews championing the idea of free speech, with titles like “Infowars WILL NOT be silenced.””

Source : Apple and Google haven’t banned Infowars apps, and their downloads are booming – The Verge

“Si les militants ne reprochent pas à Facebook d’avoir fermé la page Resisters et ne remettent pas en question l’existence d’une tentative de manipulation, ils s’offusquent de la disparition de l’événement. « Facebook ne supprime pas des pages d’extrême droite organisant la haine, mais ils suppriment ceux qui essaient de la contrer », a ainsi réagi ShutItDownDC. Dylan Petrohilos a, quant à lui, fait référence au choix de Facebook de ne pas supprimer les contenus négationnistes, en dehors des pays où le négationnisme est illégal.”

Source : Un « événement » anti-extrême droite victime de la campagne de nettoyage de Facebook

“Un journal local texan, The Liberty County Vindicator, a publié sur sa page Facebook différents extraits de la déclaration d’indépendance américaine, les jours précédant la fête nationale américaine du mercredi 4 juillet. L’un de ces extraits, le dixième publié, a été supprimé par Facebook, qui a signalé au journal qu’il violait le règlement du réseau social : le contenu a été identifié comme discours de haine. L’extrait en question est depuis longtemps objet de discussions. Il y est notamment question des « Indiens, ces sauvages sans pitié, dont la manière bien connue de faire la guerre est de tout massacrer, sans distinction d’âge, de sexe ni de condition »”.

Source : Un extrait de la déclaration d’indépendance américaine supprimé par erreur par Facebook

“Parmi les indicateurs, qui se compteraient par « centaines », le fait qu’un compte n’ait pas confirmé d’adresse email, qu’une même personne ait créé simultanément plusieurs comptes, ou qu’elle mentionne dans ses tweets des personnes qui ne la suivent pas.
Comme pour la modération de ses contenus, Twitter compte, pour repérer les « trolls », sur une combinaison de moyens techniques (détection automatique grâce à des algorithmes) et humains (signalements des utilisateurs, modérateurs). Une fois identifiés, ils verront leurs commentaires non pas supprimés, puisqu’ils « ne transgressent pas les règles de Twitter », mais invisibilisés par défaut.Le réseau social se défend pour autant de toute volonté de censure, et assure ne pas dépasser sa mission d’hébergeur en triant les contenus”.

Source : Twitter rend les « trolls » moins visibles sur sa plateforme

“Sur le réseau, les insultes s’enchaînent et se comptent par milliers. Le compte Twitter ayant diffusé la fausse information est resté actif jusqu’à dimanche soir — soit quatre jours après la publication du message. Une éternité qui laisse aux noms et aux photos le temps d’être partagées par centaines, et vues par millions. A l’agitation virtuelle des réseaux sociaux succèdent des menaces bien réelles pour la victime et qui vont au-delà du choc émotionnel, déjà violent. D’après une source de la gendarmerie locale suivant de près le dossier, Céline F. n’a pas pu rentrer chez elle le soir de la publication du tweet car « deux individus menaçants étaient postés à la porte de son domicile » ”.

Source : Mort de Naomi Musenga, le calvaire des trois opératrices accusées à tort

«Nos règles ne correspondent pas au droit américain. L’exemple le plus parlant, ce sont les propos haineux. Ils sont légaux aux Etats-Unis. Mais nos règles sont beaucoup plus proches des normes européennes : nous n’autorisons pas les attaques contre les gens sur la base de leur genre ou de leur orientation sexuelle par exemple. Nos règles ne seront jamais juste américaines ou françaises mais doivent s’adapter au monde entier.
[…] Il y a certains domaines où la technologie est déjà très utile. Notamment dans le champ de l’image : il est facile pour une machine de reconnaître certains types de contenus comme des vidéos de décapitation ou de la pédopornographie. C’est beaucoup plus difficile pour du texte. Selon leur utilisation, les mêmes quatre mots peuvent être une attaque ou être totalement acceptables. C’est très dur pour nos outils automatiques de distinguer ces deux situations. Mais nous pensons y arriver. Actuellement, ils nous servent à repérer des contenus problématiques avant de les présenter à des modérateurs humains, qui prennent la décision. Cette dernière est ensuite incorporée à nos outils pour les améliorer».

Source : Facebook : la directrice de la politique des contenus explique les règles de modération

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