Selon une des sources de Reuters, “certaines composantes du gouvernement” tenaient réellement à obtenir des preuves de la culpabilité de Huawei, ce qui la mène à penser que “nous les aurions trouvées si elles y étaient”. Les autorités recommandent pourtant de ne pas utiliser les routeurs de Huawei – des machines jouant un rôle central dans le fonctionnement d’un réseau informatique –, qui seraient affectés par de nombreuses vulnérabilités logicielles. Selon Reuters, l’enquête n’a pas déterminé si leur présence est intentionnelle ou non.