Mois : octobre 2012 (Page 2 of 10)

« Tout le monde a été pris par surprise. Les manifestants étaient totalement scotchés ! Ils n’ont pas eu le temps de réagir. En partant, les deux filles ont apostrophé les manifestants, mais il n’y avait aucune agressivité de part et d’autre. Certains manifestants avaient même l’air amusés par leur audace. Je regrette de ne pas avoir parlé avec les deux jeunes femmes pour leur demander qui elles étaient et pourquoi elles ont fait ça ». (via Le baiser de Marseille – Making-of)

Expert en sécurité informatique chez IO Active, Barnaby Jack s’est livré à une démonstration plutôt inquiétante lors du congrès Breakpoint 2012, tendant à montrer qu’il est possible de pirater un stimulateur cardiaque à distance, rapporte le magazine australien SC. Installé à une dizaine de mètres de l’appareil médical, et muni uniquement d’un ordinateur portable, Barnaby Jack a réussi à lui envoyer plusieurs décharges de 830 volts, ce qui, s’il avait été porté par un être humain aurait provoqué une crise cardiaque.

Un forfait peu cher pour l’accès aux moteurs de recherche et à Facebook. Pour quelques euros de plus, l’accès à YouTube à un débit préférentiel. Rajoutez quelques billets, et vous aurez le droit d’utiliser Skype ou d’utiliser des logiciels de téléchargement. On est, en un mot, un peu plus proche de la fin de l’Internet illimité tel qu’on le connaît depuis une dizaine d’années.

Avec le rapprochement des peuples et des idées qu’a provoqué Internet, la définition de la liberté d’expression s’est globalisée, adoptant tacitement la version américaine. Tout comme les séries américaines altèrent notre vision de la justice française. Ce phénomène s’est accéléré depuis quelques années avec l’émergence de réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter. Créés par Mark Zuckerberg et Jack Dorsey, les deux sites ont une charte d’utilisation basée sur la loi américaine et le 1er amendement. Là où il n’existait aucune charte d’utilisation pour Internet (hormis, bien entendu, le respect de la loi), on donne aujourd’hui de nouveaux “droits” et de nouvelles “règles” aux utilisateurs de ces réseaux. (via Comment Twitter et Facebook américanisent la liberté d’expression française | Rézonances)

Google milite pour installer ses propres serveurs-« caches » dans les locaux des opérateurs télécoms français. Si le groupe peut répliquer les contenus les plus demandés au plus près des internautes qui les demandent, ces contenus n’auront plus besoin de voyager des millions de fois. Mais, contrairement à la plupart de leurs homologues américains ou européens, les opérateurs français refusent d’ouvrir la porte de leurs locaux. D’une part, ils veulent rester maîtres de leur réseau ; d’autre part, ils ont eux-mêmes des services de « réplication de contenus » à vendre à Google et consorts.

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