Lors de la dernière assemblée générale du groupe, en juin, les représentants de l’Etat avaient refusé une baisse drastique du dividende. Trois mois plus tard, dans la série il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis, l’actionnaire public s’est enfin rangé aux arguments de M.Richard. La situation devenait de plus en plus inconfortable pour France Télécom, qui distribuait ainsi jusqu’à 95% de son bénéfice net à ses actionnaires. Une politique, qui n’a pas été d’une grande efficacité sur le cours de l’action, qui a perdu la moitié de sa valeur sur les trois dernières années.