Après avoir tenté en vain de prendre contact avec le Washington Post, le New York Times et Politico, il s’est tourné vers Wikileaks, qu’il surnomme “WLO” pour “WikiLeaks Organization”. Il voyait le site Internet créé par Julian Assange comme “dévoilant les activités illégales et la corruption”. “D’après mes observations, je décrirais les discussions sur le site de WLO comme étant de nature presque universitaire”, a-t-il ajouté.