Les autorités ont annoncé que, dorénavant, seuls les VPN “légaux” autorisés fonctionnent. En janvier, un responsable iranien expliquait que ces réseaux privés virtuels seront réservés aux entreprises et institutions financières les nécessitant pour leur sécurité. Des services de téléphonie par Internet, comme Skype et Viber, seraient également bloqués.