Mois : novembre 2019 (Page 2 of 2)

Ethos Capital

“En clair, PIR est maintenant en mesure de facturer les domaines en « .org » à sa guise. Or, voilà où le bât blesse. Même si l’Internet Society se dit convaincu que PIR va conserver l’objectif de garder le domaine « accessible et à un prix raisonnable », « tout en renforçant et approfondissant davantage son engagement envers la communauté », le fait est que c’est maintenant un organisme à but lucratif qui pilote in fine PIR. Or, l’appréciation d’un organisme sans but lucratif sur ce qu’est un « prix raisonnable » est sans doute assez différente de celle d’une société qui cherche à faire des profits.”

Source : « .org » : l’un des plus vieux domaines du web en danger ? – Tech – Numerama

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“Il faut se souvenir que l’entreprise a pu lever 3,5 milliards de dollars en 2016 — à une époque où Dara Khosrowshahi n’était pas encore en poste — auprès du fonds souverain de l’Arabie Saoudite. Par ailleurs, au sein de son conseil d’administration figure Yasir Al-Rumayyan, le directeur général de ce fameux fonds souverain. Axios ajoute que l’Arabie saoudite est aujourd’hui le cinquième plus gros actionnaire d’Uber. Selon Business Insider, ce fonds détient environ 73 millions d’actions, soit 4 % de l’entreprise. CNN place par contre ce fonds en quatrième position, avec 5,4 % de la société. À l’époque, l’investissement saoudien dans Uber avait été abondamment commenté et critiqué, puisqu’il vient d’un pays qui interdisait encore il y a peu aux femmes de conduire, ce qui était d’une certaine façon une aubaine pour Uber : d’ailleurs, il était noté que 80 % des clients d’Uber en Arabie saoudite sont en fait des clientes. Selon Uber, son service opère à Riyad et Djeddah.”

Source : La faute du patron d’Uber sur Jamal Khashoggi, révélatrice du malaise de la Silicon Valley avec l’Arabie saoudite – Société – Numerama

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“Cinq ans après le lancement d’Uber à Genève, les autorités du canton l’ont sommé de respecter la loi. Le conseiller d’Etat Mauro Poggia a envoyé mardi un courrier à un avocat de la multinationale en Suisse, Me Rayan Houdrouge, de l’étude Lenz et Staehelin. «Une injonction de se mettre en règle», selon Mauro Poggia. Le magistrat voit un lien de subordination entre les chauffeurs et Uber. Il estime que ce dernier est davantage un transporteur qu’un diffuseur de courses, au sens de la loi sur les taxis et voitures de transport avec chauffeur (LTVTC), un statut qui l’oblige à traiter les chauffeurs utilisant l’application comme ses employés. «Uber doit payer des salaires et s’acquitter de charges sociales, ce qu’il ne fait pas», selon Mauro Poggia.”

Source : Genève somme Uber de se plier à la loi – Le Temps

“Le numérique polluerait ainsi « cinq fois plus que l’ensemble du parc automobile français » selon plusieurs média (Le Point, Geo, France Bleu). D’autres affirment qu’il « consomme 5 fois plus de ressource que le parc automobile mondial » (France Info, Futura Science…). Pour le prouver, ils se basent sur l’excellente étude GreenIT. Mais autant le dire tout de suite, ces médias ne l’ont pas lue avant de la relayer. Car ce que dit cette étude, c’est que l’ensemble des équipements qui constituent le numérique mondial pèse autant, en kilogrammes, que 5 fois le parc automobile mondial. Ce chiffre permet de se rendre compte qu’Internet, qu’on imagine souvent « dématérialisé » est en fait constitué de matériel bien réel, et bien encombrant. Mais ce chiffre ne dit rien de la pollution, ni la consommation de ressources du numérique. Et puis, de quelle pollution parlerait-on ? Et de quelles ressources ? Il s’agirait alors de le préciser.
Si prompts à vouloir décrier le numérique et ses usages, les commentateurs oublient donc de lire les études, mais ils oublient aussi leur esprit critique au moment de faire des comparaisons.”

Lien vers l’étude complète : Empreinte environnementale du numérique mondial

Source : Écologie : arrêtons de faire du numérique un bouc-émissaire

Project Nightingale

“Neither patients nor doctors have been notified. At least 150 Google employees already have access to much of the data on tens of millions of patients, according to a person familiar with the matter and the documents. In a news release issued after The Wall Street Journal reported on Project Nightingale on Monday, the companies said the initiative is compliant with federal health law and includes robust protections for patient data. Some Ascension employees have raised questions about the way the data is being collected and shared, both from a technological and ethical perspective, according to the people familiar with the project. But privacy experts said it appeared to be permissible under federal law. That law, the Health Insurance Portability and Accountability Act of 1996, generally allows hospitals to share data with business partners without telling patients, as long as the information is used “only to help the covered entity carry out its health care functions.””

Source : Google’s ‘Project Nightingale’ Gathers Personal Health Data on Millions of Americans – WSJ

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“Goldman Sachs denied allegations of gender bias and said on Monday that it will reevaluate credit limits for Apple Card users on a case-by-case basis for customers who received lower credit lines than expected.“We have not and never will make decisions based on factors like gender,” Carey Halio, Goldman’s retail bank CEO, said in a statement. “In fact, we do not know your gender or marital status during the Apple Card application process.”Halio said that customers unsatisfied with their line should contact the company.“Based on additional information we may request, we will re-evaluate your credit line,” the statement said.”

Source : Goldman Sachs to reevaluate Apple Card credit limits after bias claim

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