Depuis le début, le gouvernement a travaillé aussi dur que possible pour caractériser les actions d’Aaron de la façon la plus extrême et la plus stupide», et finit par comprendre comment «l’arrivée de cette bataille, sans défense, a fait que se tuer a fait sens pour ce garçon brillant mais troublé (via Pourquoi tant d’émotion après le suicide d’Aaron Swartz? | Slate)