Le risque est que nous abandonnions certains combats essentiels, comme le refus des DRM, contre de nouvelles commodités (la possibilité de revendre nos titres numériques). A croire que nous ne savons rien refuser quand cela nous rend les choses plus commodes.
Mois : mars 2013 (Page 5 of 8)
… si le client est roi, l’internaute (dépensier) devrait l’être aussi. Un internaute pourtant régulièrement frustré de ses achats en ligne. Sebastian Siemiatkowski a donc voulu mettre en pratique une vieille idée de l’e-commerce : le paiement à la facture. Une idée qui achoppait jusqu’à présent sur l’impossibilité de récupérer l’argent dû en cas de fraude de la part d’un client. Klarna prend ce risque à la place des entreprises qui vendent des biens ou des services en ligne, en échange d’un forfait.
Cindy Gallop n’a pas peur d’apostropher le “business angel” libertarien Peter Thiel, qui a critiqué le manque d’ambition actuel avec la formule désormais culte : “Nous voulions des voitures volantes, et nous avons eu 140 caractères.” “Je veux dire à Peter que les grandes ambitions existent encore. Je pense que nous pouvons changer le monde à travers le sexe, en le rendant meilleur pour tous”, répond-t-elle.
Les autorités ont annoncé que, dorénavant, seuls les VPN “légaux” autorisés fonctionnent. En janvier, un responsable iranien expliquait que ces réseaux privés virtuels seront réservés aux entreprises et institutions financières les nécessitant pour leur sécurité. Des services de téléphonie par Internet, comme Skype et Viber, seraient également bloqués.
Ce n’est pas à nous de savoir comment fonctionne l’ordinateur, c’est à l’ordinateur de s’adapter à ce que nous sommes
Lors d’une de ces attaques, un logiciel d’espionnage développé par des Chinois aurait en effet recherché des informations confidentielles sur les négociations du G20 en 2011, lorsque les taux de change et les réserves de changes de la Chine étaient au programme du sommet de Séoul.
L’un des véritables atouts de Pheed est que les utilisateurs peuvent, s’ils le souhaitent, placer leurs contenus sur un mur payant. Ils peuvent faire payer de 1,99 à 34,99 dollars à la carte, ou par mois, et partager les gains avec Pheed. Les utilisateurs peuvent aussi placer un filigrane sur leurs contenus et en conserver la propriété perpétuelle.
Dans l’ensemble, ce qui importe le plus, c’est le fossé qui s’est clairement dessiné entre les pays, et la suspicion mutuelle que quelqu’un essaie de contrôler unilatéralement une ressource commune.