La peur d’un procès aurait attisé les divergences stratégiques déjà présentes entre les développeurs : l’un des points de discorde était un VPN, un service de protection codéveloppé par Wally, afin d’offrir aux internautes la possibilité de ne pas être visibles des instances de contrôle du téléchargement illégal, comme la Hadopi française.
Ce système, payant, était dangereux aux yeux de certains membres de l’équipe : ces derniers étaient persuadés que l’absence de revenus du service gratuit était une des meilleures défenses juridiques de PopcornTime.io en cas de procès. Wally a eu beau affirmer ne pas « vouloir faire de l’argent » et chercher à assurer la pérennité de son service, le divorce était consommé.

Source : Popcorn Time : les déboires du « Netflix du piratage »