L’une des principales mesures — et l’une des plus controversées — donnera accès à la police à un historique simplifié de toute la navigation Internet d’un internaute, sur simple demande auprès des fournisseurs d’accès. Contrairement à ce que croyait savoir la presse britannique, mercredi matin, cette demande se fera sans mandat, et donc sans le contrôle d’un juge, comme c’est le cas dans tous les pays européens et aux Etats-Unis. Les fournisseurs d’accès seront tenus de conserver toutes les données de connexion durant douze mois.

Source : Le gouvernement britannique présente un gigantesque projet de loi sur la surveillance