M. Spangenberg explique également avoir, sur instruction de l’entreprise,  chiffré à distance le contenu d’ordinateurs de l’entreprise durant des perquisitions, pour empêcher des enquêteurs d’avoir accès à des données. « [En cas de perquisition] Uber bloquait tout le bureau concerné et coupait toutes les connexions pour que les forces de l’ordre ne puissent pas accéder aux informations », explique-t-il.

Source : Uber accusé de ne pas protéger les données de ses utilisateurs et d’entrave à la justice